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R. est un homme passionné de sexe sous toutes ses formes - encore plus que les autres (lol) - et a un sens
du jeu très communicatif.
Nous étions alors en contact depuis quelques semaines sans nous être encore vus et puis, parce que nous étions plus disponibles l'un et l'autre, nous avons commencé à échanger par messagerie des confidences sur nos fantasmes et nos expériences les plus fortes. Ce qui nous a rapidement mis dans un grand état d'excitation. Sauf que la distance qui nous séparait rendait impossible une rencontre rapide.
Le troisième jour de ce jeu, alors que nos échanges avaient pris une intensité qui nous rendait fous du matin au soir et même la nuit - je m'étais réveillée au bord de l'orgasme en désirant qu'il me prenne - je lui ai proposé de partager nos jouissances par téléphone. Ce serait déjà ça... Je ne l'avais jamais fait mais je m'imaginais que d'entendre sa voix et ses gémissements accompagnerait délicieusement mon plaisir. J'espérais tellement qu'il était le genre d'homme à se laisser aller à gémir et même crier... C'est quelque chose que j'adore. Et puis nous avions beaucoup parlé de relations de domination et j'avais envie qu'il me contrôle complètement, uniquement avec sa voix.
Je me suis habillée d'une façon qui l'excitait. J'ai préparé mon vibromasseur qui me servirait à rendre le jeu plus concret. Le gode n'était vraiment pas un accessoire que j'appréciais. En fait, je n'avais jamais réussi à le voir, à le sentir autrement que comme un truc dur et froid et je n'avais jamais éprouvé avec lui de sensations agréables. Je n'avais jamais réussi à fantasmer assez dessus pour l'investir de virilité. Là, je sentais bien qu'il allait être le prolongement de la voix et du sexe d'un homme qui me désirait et qu'il allait m'apporter des sensations très fortes.
Je mouillais déjà beaucoup quand j'ai pris le téléphone.
R. m'a demandé de décrire la façon dont j'étais habillée. Elle lui convenait parfaitement.
Je lui ai raconté ce que j'avais envie de lui faire, tout en caressant la pointe de mes seins. Je rêvais de prendre son gland dans ma bouche, de le faire rouler sur ma langue bien écartée, de bouger doucement mes lèvres autour, de l'emprisonner, puis de descendre très lentement... J'entendais à sa voix qu'il aimait beaucoup mes descriptions. En alternance, il me racontait ce qu'il rêvait de me faire lui-même et je reproduisais cela avec mes mains. Je les mouillais pour imiter sa bouche.
J'avais envie de sentir ses doigts dans mon sexe. Il m'autorisa à rentrer les miens. C'était fabuleux, cette sensation d'une main qui était la mienne tout en étant le prolongement de celle d'un autre. Je redécouvrais mon vagin. Je le sentais doux et serré, comme un coussin humide qui comprimait mes doigts. Je tournais les doigts à l'intérieur et il réagissait, se contractait, se dilatait... C'était très étrange et délicieux.
Il me dit d'enlever mes doigts. De prendre le gode et de le lécher comme si c'était son sexe. J'arrivais presque à y croire. J'avais l'odeur de ma chatte sur les doigts, je les léchais aussi.
Puis il m'ordonna de me mettre à quatre pattes, il s'imaginait que j'étais devant lui, les fesses à sa disposition. Il me disait de passer le gode autour de ma chatte, sur mon clito, longtemps... Je voulais être pénétrée. "Non, pas encore"... ça me rendait folle. Il me disait ça d'une voix douce mais ferme. J'avais envie d'être défoncée par ce gode mais il ne m'y autorisait pas. J'ai mis du gel dessus pour qu'il puisse rentrer brutalement quand j'en aurais le droit. Il me disait qu'il avait terriblement envie de moi. Je sentais son excitation à son comble et ça augmentait encore la mienne.
Et puis il m'a dit de le rentrer doucement, d'abord le bout. Je voulais tout, je le voulais lui, et je voulais ce gode, et je le lui disais. Il m'a fait attendre encore un peu. Puis il m'a autorisée à le rentrer et je l'ai fait, d'un coup, très fort. C'était tellement bon! J'étais toujours sur les genoux. J'ai fait aller et venir le gode de haut en bas pour qu'il frotte bien sur l'intérieur de mon vagin du côté du clitoris. Je lui ai mis un peu de vibrations pour augmenter mes sensations. Il me disait de le faire aller de plus en plus vite, ce que je faisais déjà spontanément. Il me disait que ma respiration de plus en plus forte et mes gémissements l'excitaient. Et je suis venue très vite...
Tout ce jeu et le fait de m'entendre l'avaient beaucoup excité et il est venu très peu de temps après moi. L'entendre jouir a été une émotion violente. D'habitude, je ressens la jouissance de mon partenaire à travers tout son corps, les petites saccades des reins, les légères vibrations du sexe qui se vide, les contractions de l'anus, la bouche crispée, la chair de poule sur les fesses et le torse, les rougeurs, un cri rauque... Là, je n'avais qu'une parcelle de lui. Mais ces quelques longues secondes où je l'ai entendu gémir en jouissant m'ont enflammée, comme si ses gémissements étaient entrés par vagues brûlantes dans mon sexe, électrisant mon clitoris.
Nous avons recommencé plusieurs fois depuis, augmentant à chaque fois les détails, modifiant les scénarios, mais toujours avec la même jouissance et cela a décuplé à chaque fois notre envie de nous retrouver physiquement.
Nous étions alors en contact depuis quelques semaines sans nous être encore vus et puis, parce que nous étions plus disponibles l'un et l'autre, nous avons commencé à échanger par messagerie des confidences sur nos fantasmes et nos expériences les plus fortes. Ce qui nous a rapidement mis dans un grand état d'excitation. Sauf que la distance qui nous séparait rendait impossible une rencontre rapide.
Le troisième jour de ce jeu, alors que nos échanges avaient pris une intensité qui nous rendait fous du matin au soir et même la nuit - je m'étais réveillée au bord de l'orgasme en désirant qu'il me prenne - je lui ai proposé de partager nos jouissances par téléphone. Ce serait déjà ça... Je ne l'avais jamais fait mais je m'imaginais que d'entendre sa voix et ses gémissements accompagnerait délicieusement mon plaisir. J'espérais tellement qu'il était le genre d'homme à se laisser aller à gémir et même crier... C'est quelque chose que j'adore. Et puis nous avions beaucoup parlé de relations de domination et j'avais envie qu'il me contrôle complètement, uniquement avec sa voix.
Je me suis habillée d'une façon qui l'excitait. J'ai préparé mon vibromasseur qui me servirait à rendre le jeu plus concret. Le gode n'était vraiment pas un accessoire que j'appréciais. En fait, je n'avais jamais réussi à le voir, à le sentir autrement que comme un truc dur et froid et je n'avais jamais éprouvé avec lui de sensations agréables. Je n'avais jamais réussi à fantasmer assez dessus pour l'investir de virilité. Là, je sentais bien qu'il allait être le prolongement de la voix et du sexe d'un homme qui me désirait et qu'il allait m'apporter des sensations très fortes.
Je mouillais déjà beaucoup quand j'ai pris le téléphone.
R. m'a demandé de décrire la façon dont j'étais habillée. Elle lui convenait parfaitement.
Je lui ai raconté ce que j'avais envie de lui faire, tout en caressant la pointe de mes seins. Je rêvais de prendre son gland dans ma bouche, de le faire rouler sur ma langue bien écartée, de bouger doucement mes lèvres autour, de l'emprisonner, puis de descendre très lentement... J'entendais à sa voix qu'il aimait beaucoup mes descriptions. En alternance, il me racontait ce qu'il rêvait de me faire lui-même et je reproduisais cela avec mes mains. Je les mouillais pour imiter sa bouche.
J'avais envie de sentir ses doigts dans mon sexe. Il m'autorisa à rentrer les miens. C'était fabuleux, cette sensation d'une main qui était la mienne tout en étant le prolongement de celle d'un autre. Je redécouvrais mon vagin. Je le sentais doux et serré, comme un coussin humide qui comprimait mes doigts. Je tournais les doigts à l'intérieur et il réagissait, se contractait, se dilatait... C'était très étrange et délicieux.
Il me dit d'enlever mes doigts. De prendre le gode et de le lécher comme si c'était son sexe. J'arrivais presque à y croire. J'avais l'odeur de ma chatte sur les doigts, je les léchais aussi.
Puis il m'ordonna de me mettre à quatre pattes, il s'imaginait que j'étais devant lui, les fesses à sa disposition. Il me disait de passer le gode autour de ma chatte, sur mon clito, longtemps... Je voulais être pénétrée. "Non, pas encore"... ça me rendait folle. Il me disait ça d'une voix douce mais ferme. J'avais envie d'être défoncée par ce gode mais il ne m'y autorisait pas. J'ai mis du gel dessus pour qu'il puisse rentrer brutalement quand j'en aurais le droit. Il me disait qu'il avait terriblement envie de moi. Je sentais son excitation à son comble et ça augmentait encore la mienne.
Et puis il m'a dit de le rentrer doucement, d'abord le bout. Je voulais tout, je le voulais lui, et je voulais ce gode, et je le lui disais. Il m'a fait attendre encore un peu. Puis il m'a autorisée à le rentrer et je l'ai fait, d'un coup, très fort. C'était tellement bon! J'étais toujours sur les genoux. J'ai fait aller et venir le gode de haut en bas pour qu'il frotte bien sur l'intérieur de mon vagin du côté du clitoris. Je lui ai mis un peu de vibrations pour augmenter mes sensations. Il me disait de le faire aller de plus en plus vite, ce que je faisais déjà spontanément. Il me disait que ma respiration de plus en plus forte et mes gémissements l'excitaient. Et je suis venue très vite...
Tout ce jeu et le fait de m'entendre l'avaient beaucoup excité et il est venu très peu de temps après moi. L'entendre jouir a été une émotion violente. D'habitude, je ressens la jouissance de mon partenaire à travers tout son corps, les petites saccades des reins, les légères vibrations du sexe qui se vide, les contractions de l'anus, la bouche crispée, la chair de poule sur les fesses et le torse, les rougeurs, un cri rauque... Là, je n'avais qu'une parcelle de lui. Mais ces quelques longues secondes où je l'ai entendu gémir en jouissant m'ont enflammée, comme si ses gémissements étaient entrés par vagues brûlantes dans mon sexe, électrisant mon clitoris.
Nous avons recommencé plusieurs fois depuis, augmentant à chaque fois les détails, modifiant les scénarios, mais toujours avec la même jouissance et cela a décuplé à chaque fois notre envie de nous retrouver physiquement.
Dim 4 jan 2009
1 commentaire
Déjà fait plusieurs fois c'est extra...à condition d'avoi suffisament d'imagination!
Lynette - le 08/01/2009 à 12h08