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Mais que s'est-t'il donc passé après le 27 mars? Bien des choses qui m'ont éloignée de ce blog. J'ai
hésité à en parler parce que là, pour le coup, il s'agit de confidences très TRES privées. Mais on m'a demandé des comptes. lol. Et pourquoi donc est-ce que je ne publiais plus rien?
"Ah, ça, je croyais que tu l'aurais raconté, mais j'ai regardé, rien..." Et mes adorables lecteurs qui aiment me lire en fantasmant et qui m'envoient du coup des petits coups de coudes.
Bon.
Donc voilà.
Premier épisode - D'abord, il y a eu une rencontre, par hasard, un verre et un bon contact, un soir en club. Et quand on s'est revus pour aller plus loin une semaine plus tard, c'est devenu très fort. Etrange. Pas prévu, bien sûr. Profil très différent du mien. Fonctionnement sexuel très différent aussi. Beaucoup plus soft. Mais on s'est mis à baigner dans un océan de tendresse qui nous avait pris par surprise.
J'ai fait avec lui beaucoup de choses que j'évite en temps normal pour ne pas m'attacher : se voir souvent, aller au resto, dormir ensemble et toutes ces petites choses du quotidien qui peuvent transformer une rencontre érotique en aventure sentimentale incontrôlée. Mais il était très demandeur et je me suis laissée porter. Je savais qu'il n'était pas plus que moi dans la perspective d'une relation sérieuse. Je gérais mes émotions. Et j'avais mis en place mes défenses, au cas où.
J'appréciais tellement les instants de plaisirs simples qu'on partageait que je voulais les savourer et les laisser résonner de façon privilégiée. J'ai commencé à différer, puis carrément refuser de nouvelles rencontres coquines. J'ai demandé une pause à mes amants. Je le faisais par envie de rester dans cette bulle. Il ne serait pas question que quiconque me demande d'être fidèle. Il n'était d'ailleurs pas au courant de ma démarche. Il croyait que je continuais mon intrépide vie libertine en dehors des moments où on se voyait. J'ai bien essayé d'aborder la question, mais il me répondait que ça ne le regardait pas, qu'il ne souhaitait pas que je lui en parle. Mes proches en revanche connaissaient mon évolution, partagés entre la perplexité et l'amusement affectueux. Et du coup, je n'avais plus rien à raconter sur le blog.
Son expérience libertine était beaucoup plus limitée que la mienne. Il découvrait avec moi des choses qui lui plaisaient et dans lesquelles il se sentait bien. Moi, je découvrais la complicité poussée très loin. Je crois que j'ai passé avec lui ma plus belle soirée de club.
Deuxième épisode - Là, ça devient interdit aux moins de 16 ans.
Nous avons eu un accident d'alcôve. Et oui. Nous étions sur une table de massage dans un club. Ou plutôt j'étais allongée sur la table et lui debout, on imagine bien dans quelle situation. Un rideau au dessus de moi me gênait. J'ai voulu l'écarter et la barre m'est tombée dessus et m'a brisé les incisives. En petits morceaux. Déjà, ça n'est pas drôle. J'ai bien sûr beaucoup souffert, tant physiquement que psychologiquement. Mais il a été parfait pour me soutenir la nuit même et les jours suivants. Les circonstances de cet accident prêtent néanmoins largement à sourire et à susciter plaisanteries et jeux de mots, surtout en rapport avec mon pseudo. Bref...
Un bonheur n'arrivant jamais seul, deux jours après ce pépin, j'ai commencé à avoir mal au ventre et à développer une pancréatite accompagnée d'une insuffisance rénale. Souffrance atroce et divers symptômes abominables. J'ai dû être hospitalisée. Inutile de préciser que je suis en excellente santé par ailleurs et que je n'avais jamais eu de soucis. Les spécialistes pensent que c'était causé par les anti-inflammatoires que j'avais pris contre les douleurs dentaires.
Les jours passant, je me suis sentie empoisonnée et anéantie par cette maladie. Je suis passée par des souffrances diverses pendant environ dix jours, durant lesquels je n'ai pas dormi plus de deux heures d'affilée, tenaillée par une soif inextinguible qui m'obsédait, m'obligeait à boire constamment de l'eau, des litres et des litres, et me réveillait à peine endormie. Et puis j'avais les bras couverts de bleus, j'arrivais à peine à les plier. On me piquait tous les jours, parfois plusieurs fois, pour les bilans. J'avais des veinites dues aux perfusions. J'essayais pourtant autant que possible de prendre sur moi et de faire bonne figure auprès de ceux qui venaient aux nouvelles, pour ne pas trop les inquiéter. Et lorsque j'ai commencé à souffrir un peu moins, je me suis sentie épuisée, à bout. Le soir, après le dîner, dans ma chambre d'hôpital, j'avais des angoisses terribles, des idées noires, je n'arrivais pas à m'endormir. Ma voisine de chambre me voyait sombrer et me disait : "Mais enfin, vous qui avez du courage à revendre" Justement, à force d'en revendre... Je me masturbais beaucoup pour me calmer quand ma voisine dormait, cela me rassurait vaguement de sentir que mon corps fonctionnait encore un peu. Mais ça n'était pas du plaisir, juste des orgasmes.
Troisième épisode - Dans cette épreuve de la maladie, penser à lui et aux délicieux moments qu'on avait passés ensemble faisait partie des choses qui me réconfortaient beaucoup. Il s'est soucié de moi à l'hôpital, il m'a envoyé de gentils messages, il est venu de rendre visite. Au départ, je n'étais pas très chaude pour qu'il me voie à l'agonie, branchée à une perfusion et à une pompe à morphine, encore édentée. Mais apparemment ça ne le gênait pas. A une de ses visites, il m'a même furtivement caressé un sein en m'embrassant - sur la joue bien sûr - avant de me quitter.
Et puis donc, comme il était dispo et qu'un week-end long arrivait, il m'annonce qu'il va partir quelques jours au Cap d'Agde. Il n'y était jamais allé. Bon. Sur le moment ça m'a laissée indifférente, je lui ai juste dit de s'amuser en pensant à moi. Je lui ai donné quelques conseils.
Mais en fait, ça tombait mal. Je l'ai réalisé peu après. C'était dans cette phase où mon moral lâchait complètement. J'étais écrasée par la lutte contre la douleur, par le manque de sommeil, par des pensées négatives permanentes contre lesquelles je n'avais plus la force de lutter. Le fait qu'il parte au Cap me donnait le sentiment d'être laissée à l'abandon dans ma chambre d'hôpital, invalide. C'était injuste.
Et puis cela réactivait dans ce contexte de très mauvais souvenirs. Quand mon ex mari partait au Cap justement, après qu'on ait dissocié nos sexualités. Et qu'il me laissait sans nouvelles pendant des jours. Je l'appelais à midi et il me répondait qu'ils s'étaient envoyés en l'air toute la nuit, que tout le monde dormait encore dans l'appartement, donc qu'il ne pouvait pas me parler et me rappellerait plus tard. Bien sûr il ne rappelait pas. Ou il revenait en me disant: "J'ai rencontré une femme qui s'appelle Sandra, on a fait l'amour avec elle pendant deux jours. Tu ne sens pas aussi bon qu'elle." Et j'en passe. Inutile de revenir sur les raisons pour lesquelles je suis restée avec un homme comme ça. Ce qui est sûr, c'est que le mal est fait fait et que les mauvais souvenirs sont enfouis mais sont susceptibles de ressurgir quand je suis vulnérable. Et c'était le cas.
Et puis il y a autre chose. J'étais convaincue qu'en revenant du Cap, il n'aurait plus vraiment envie qu'on continue cette relation qu'il aimait jusque là. On y vit toujours des expériences qui nous transforment, surtout lui qui était en pleine évolution par rapport au libertinage. Donc autant anticiper et couper tout de suite.
Dans l'état où j'étais, je voulais juste être soulagée, ne plus penser, ne plus être tourmentée. Alors un soir, j'ai pris mon téléphone et je lui ai laissé un message disant que penser à lui m'avait réconfortée jusque là, mais que le fait qu'il soit parti me contrariait et que je souhaitais qu'il ne me recontacte pas. Un problème de moins. Je le pensais. Mais il m'a répondu par un texto incroyablement gentil, réconfortant et compréhensif. Enfin, "incroyablement" par rapport au silence que j'espérais, mais logiquement par rapport à son caractère. Mais moi qui ne voulais plus penser à rien, je me suis sentie brutalement monstrueuse. La maladie m'avait rendue égoïste. Je n'avais rien à lui reprocher. Il avait été très attentionné depuis des semaines. Il était juste parti en week-end. Et je m'en suis beaucoup voulu, humainement. De mon côté, j'avais scié la branche sur laquelle j'étais assise. Tant pis pour moi. Au moment où je l'avais fait, je l'avais souhaité. Il fallait que j'assume. Mais lui... Je m'en suis excusée. Mais le mal était fait.
Quatrième épisode - Il a compris ce que j'avais vécu et m'a "pardonnée", ce qui a soulagé ma mauvaise conscience. Mais il a voulu qu'on mette de la distance - ça, je le comprends - sans couper totalement les liens, en laissant une porte ouverte pour l'avenir - ça, je ne le comprends pas plus que je n'y crois. On est dans un état d'apesanteur. C'est bizarre. Je n'ai pas forcément envie de le voir, je respecte sa position. Mais quand je vis certains moments agréables, je me dis que c'est dommage qu'on ne les partage plus.
Epilogue - J'ai repris mes activités ludiques préférées. J'ai fait de très jolies rencontres, des jeux délicieux. Mais dans le fond j'ai l'impression de passer le temps, de ne plus vraiment être dans la démarche de la découverte. D'ailleurs je préfère m'amuser avec mes amants ou mes complices, ou d'anciens contacts, que faire de nouvelles rencontres. Il y aura eu un avant et un après le passage de ce nuage douillet et de toutes ces perturbations atmosphériques.
Moralité : En avril, ne te découvre pas d'un fil, même pas de celui des rideaux et en mai, fais ce qu'il te plaît, mais tais-toi jusqu'à complète guérison.
Donc voilà.
Premier épisode - D'abord, il y a eu une rencontre, par hasard, un verre et un bon contact, un soir en club. Et quand on s'est revus pour aller plus loin une semaine plus tard, c'est devenu très fort. Etrange. Pas prévu, bien sûr. Profil très différent du mien. Fonctionnement sexuel très différent aussi. Beaucoup plus soft. Mais on s'est mis à baigner dans un océan de tendresse qui nous avait pris par surprise.
J'ai fait avec lui beaucoup de choses que j'évite en temps normal pour ne pas m'attacher : se voir souvent, aller au resto, dormir ensemble et toutes ces petites choses du quotidien qui peuvent transformer une rencontre érotique en aventure sentimentale incontrôlée. Mais il était très demandeur et je me suis laissée porter. Je savais qu'il n'était pas plus que moi dans la perspective d'une relation sérieuse. Je gérais mes émotions. Et j'avais mis en place mes défenses, au cas où.
J'appréciais tellement les instants de plaisirs simples qu'on partageait que je voulais les savourer et les laisser résonner de façon privilégiée. J'ai commencé à différer, puis carrément refuser de nouvelles rencontres coquines. J'ai demandé une pause à mes amants. Je le faisais par envie de rester dans cette bulle. Il ne serait pas question que quiconque me demande d'être fidèle. Il n'était d'ailleurs pas au courant de ma démarche. Il croyait que je continuais mon intrépide vie libertine en dehors des moments où on se voyait. J'ai bien essayé d'aborder la question, mais il me répondait que ça ne le regardait pas, qu'il ne souhaitait pas que je lui en parle. Mes proches en revanche connaissaient mon évolution, partagés entre la perplexité et l'amusement affectueux. Et du coup, je n'avais plus rien à raconter sur le blog.
Son expérience libertine était beaucoup plus limitée que la mienne. Il découvrait avec moi des choses qui lui plaisaient et dans lesquelles il se sentait bien. Moi, je découvrais la complicité poussée très loin. Je crois que j'ai passé avec lui ma plus belle soirée de club.
Deuxième épisode - Là, ça devient interdit aux moins de 16 ans.
Nous avons eu un accident d'alcôve. Et oui. Nous étions sur une table de massage dans un club. Ou plutôt j'étais allongée sur la table et lui debout, on imagine bien dans quelle situation. Un rideau au dessus de moi me gênait. J'ai voulu l'écarter et la barre m'est tombée dessus et m'a brisé les incisives. En petits morceaux. Déjà, ça n'est pas drôle. J'ai bien sûr beaucoup souffert, tant physiquement que psychologiquement. Mais il a été parfait pour me soutenir la nuit même et les jours suivants. Les circonstances de cet accident prêtent néanmoins largement à sourire et à susciter plaisanteries et jeux de mots, surtout en rapport avec mon pseudo. Bref...
Un bonheur n'arrivant jamais seul, deux jours après ce pépin, j'ai commencé à avoir mal au ventre et à développer une pancréatite accompagnée d'une insuffisance rénale. Souffrance atroce et divers symptômes abominables. J'ai dû être hospitalisée. Inutile de préciser que je suis en excellente santé par ailleurs et que je n'avais jamais eu de soucis. Les spécialistes pensent que c'était causé par les anti-inflammatoires que j'avais pris contre les douleurs dentaires.
Les jours passant, je me suis sentie empoisonnée et anéantie par cette maladie. Je suis passée par des souffrances diverses pendant environ dix jours, durant lesquels je n'ai pas dormi plus de deux heures d'affilée, tenaillée par une soif inextinguible qui m'obsédait, m'obligeait à boire constamment de l'eau, des litres et des litres, et me réveillait à peine endormie. Et puis j'avais les bras couverts de bleus, j'arrivais à peine à les plier. On me piquait tous les jours, parfois plusieurs fois, pour les bilans. J'avais des veinites dues aux perfusions. J'essayais pourtant autant que possible de prendre sur moi et de faire bonne figure auprès de ceux qui venaient aux nouvelles, pour ne pas trop les inquiéter. Et lorsque j'ai commencé à souffrir un peu moins, je me suis sentie épuisée, à bout. Le soir, après le dîner, dans ma chambre d'hôpital, j'avais des angoisses terribles, des idées noires, je n'arrivais pas à m'endormir. Ma voisine de chambre me voyait sombrer et me disait : "Mais enfin, vous qui avez du courage à revendre" Justement, à force d'en revendre... Je me masturbais beaucoup pour me calmer quand ma voisine dormait, cela me rassurait vaguement de sentir que mon corps fonctionnait encore un peu. Mais ça n'était pas du plaisir, juste des orgasmes.
Troisième épisode - Dans cette épreuve de la maladie, penser à lui et aux délicieux moments qu'on avait passés ensemble faisait partie des choses qui me réconfortaient beaucoup. Il s'est soucié de moi à l'hôpital, il m'a envoyé de gentils messages, il est venu de rendre visite. Au départ, je n'étais pas très chaude pour qu'il me voie à l'agonie, branchée à une perfusion et à une pompe à morphine, encore édentée. Mais apparemment ça ne le gênait pas. A une de ses visites, il m'a même furtivement caressé un sein en m'embrassant - sur la joue bien sûr - avant de me quitter.
Et puis donc, comme il était dispo et qu'un week-end long arrivait, il m'annonce qu'il va partir quelques jours au Cap d'Agde. Il n'y était jamais allé. Bon. Sur le moment ça m'a laissée indifférente, je lui ai juste dit de s'amuser en pensant à moi. Je lui ai donné quelques conseils.
Mais en fait, ça tombait mal. Je l'ai réalisé peu après. C'était dans cette phase où mon moral lâchait complètement. J'étais écrasée par la lutte contre la douleur, par le manque de sommeil, par des pensées négatives permanentes contre lesquelles je n'avais plus la force de lutter. Le fait qu'il parte au Cap me donnait le sentiment d'être laissée à l'abandon dans ma chambre d'hôpital, invalide. C'était injuste.
Et puis cela réactivait dans ce contexte de très mauvais souvenirs. Quand mon ex mari partait au Cap justement, après qu'on ait dissocié nos sexualités. Et qu'il me laissait sans nouvelles pendant des jours. Je l'appelais à midi et il me répondait qu'ils s'étaient envoyés en l'air toute la nuit, que tout le monde dormait encore dans l'appartement, donc qu'il ne pouvait pas me parler et me rappellerait plus tard. Bien sûr il ne rappelait pas. Ou il revenait en me disant: "J'ai rencontré une femme qui s'appelle Sandra, on a fait l'amour avec elle pendant deux jours. Tu ne sens pas aussi bon qu'elle." Et j'en passe. Inutile de revenir sur les raisons pour lesquelles je suis restée avec un homme comme ça. Ce qui est sûr, c'est que le mal est fait fait et que les mauvais souvenirs sont enfouis mais sont susceptibles de ressurgir quand je suis vulnérable. Et c'était le cas.
Et puis il y a autre chose. J'étais convaincue qu'en revenant du Cap, il n'aurait plus vraiment envie qu'on continue cette relation qu'il aimait jusque là. On y vit toujours des expériences qui nous transforment, surtout lui qui était en pleine évolution par rapport au libertinage. Donc autant anticiper et couper tout de suite.
Dans l'état où j'étais, je voulais juste être soulagée, ne plus penser, ne plus être tourmentée. Alors un soir, j'ai pris mon téléphone et je lui ai laissé un message disant que penser à lui m'avait réconfortée jusque là, mais que le fait qu'il soit parti me contrariait et que je souhaitais qu'il ne me recontacte pas. Un problème de moins. Je le pensais. Mais il m'a répondu par un texto incroyablement gentil, réconfortant et compréhensif. Enfin, "incroyablement" par rapport au silence que j'espérais, mais logiquement par rapport à son caractère. Mais moi qui ne voulais plus penser à rien, je me suis sentie brutalement monstrueuse. La maladie m'avait rendue égoïste. Je n'avais rien à lui reprocher. Il avait été très attentionné depuis des semaines. Il était juste parti en week-end. Et je m'en suis beaucoup voulu, humainement. De mon côté, j'avais scié la branche sur laquelle j'étais assise. Tant pis pour moi. Au moment où je l'avais fait, je l'avais souhaité. Il fallait que j'assume. Mais lui... Je m'en suis excusée. Mais le mal était fait.
Quatrième épisode - Il a compris ce que j'avais vécu et m'a "pardonnée", ce qui a soulagé ma mauvaise conscience. Mais il a voulu qu'on mette de la distance - ça, je le comprends - sans couper totalement les liens, en laissant une porte ouverte pour l'avenir - ça, je ne le comprends pas plus que je n'y crois. On est dans un état d'apesanteur. C'est bizarre. Je n'ai pas forcément envie de le voir, je respecte sa position. Mais quand je vis certains moments agréables, je me dis que c'est dommage qu'on ne les partage plus.
Epilogue - J'ai repris mes activités ludiques préférées. J'ai fait de très jolies rencontres, des jeux délicieux. Mais dans le fond j'ai l'impression de passer le temps, de ne plus vraiment être dans la démarche de la découverte. D'ailleurs je préfère m'amuser avec mes amants ou mes complices, ou d'anciens contacts, que faire de nouvelles rencontres. Il y aura eu un avant et un après le passage de ce nuage douillet et de toutes ces perturbations atmosphériques.
Moralité : En avril, ne te découvre pas d'un fil, même pas de celui des rideaux et en mai, fais ce qu'il te plaît, mais tais-toi jusqu'à complète guérison.
Lun 1 jun 2009
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