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G :
Après plusieurs mois de relations très intenses et uniquement virtuelles, le printemps arrive et j’ai l’opportunité de me déplacer dans la région où vit X.
Nous parlons longuement des modalités dans lesquelles nous allons nous rencontrer.
Nous pourrions nous retrouver dans l’intimité d’une chambre, prolongeant celle de nos espaces intimes à travers lesquels nous échangeons dans nos jeux habituels. Mais non. Nous décidons de sortir en club, en soirée mixte. Pour éprouver réellement ces allers et venues entre nos désirs réciproques et ceux de tiers. Pour nous replonger dans ce contexte qui nous a mis en relation, moi publiant des récits dans lesquels je racontais mes expériences avec des partenaires pour susciter le désir d’hommes inconnus, lui ayant pris la place d’un de ses inconnus pour devenir un partenaire très privilégié. Et finalement, lui dirigeant maintenant souvent nos séances de jeux virtuels et moi m’abandonnant délicieusement.
Nous nous retrouvons d’abord autour d’un verre. Une rencontre étrange dans cette ambiance de ruche des cafés parisiens où l’intensité des conversations personnelles ou professionnelles autour des petites tables est palpable.
Nous avons longuement discuté de cette sortie en club et nous savons très bien qu’elle va être très forte. Après avoir bavardé en toute complicité, avec cette impression de très bien nous connaître, revenant constamment au sexe, nous nous dirigeons vers le lieu que nous avons choisi pour cette soirée.
Je me change. Il est tôt mais déjà de nombreux hommes et quelques couples sont autour du bar. Nous sentons que nous n’y resterons pas longtemps et le désir s’est largement accumulé depuis notre premier verre. Nous nous sommes décrit toutes nos sensations. Je sais que tu bandes depuis longtemps déjà.
Nous allons nous promener et visiter les alcôves.
Nous retrouver là, dans ces espaces intimes, fait encore monter nos désirs. Je me sens très alanguie, la conscience de mon corps réduite à celle de mon ventre. Je respire lourdement et chaque inspiration durcit un peu plus la pointe de mes seins frôlant le fin tissu de ma robe.
Nous détaillons une de ces alcôves, sans rien dire. Je me retourne et tu es dans l’encadrement.
Tu me regardes étrangement.
Et très vite, tu saisis ma tête. Tu enlèves en un mouvement rapide cette petite robe que je porte et tu me pousses vers le lit.
J’aime la brutalité de ce qui vient de se passer. Je ferme les yeux. Une sensation de soulagement, d’abandon vers le plaisir à portée de main.
Tu étales ma mouille sur mes seins, mon ventre. Tu me lèches, me dévores, me bois… je sens que tu te masturbes pendant que ta langue fouille mon sexe.
Tu te redresses et plantes ton regard dans le mien en me pénétrant d’une poussée brutale que je désirais mais qui me surprend et m’arrache un cri. Je m’enivre de cette façon que tu as de me prendre, en me fixant, en me faisant sentir que tu me possèdes.
Ta main retourne vers mon sexe pour reprendre de cette humidité que tu provoques et la boire avidement. Et tu enfonces tes doigts dans ma bouche, ces doigts couverts de mon intimité que tu me fais ainsi partager. Je sais que tu aimes cela, que tu te délectes de me faire sentir mon odeur pour m’embrasser après. Tu me tiens toujours plaquée contre toi. Tu me pénètres de plus en plus fort en me regardant toujours intensément, scrutant mes réactions de plaisir.
Tu approches ta bouche de mon oreille et me dis que tu adores ma chatte de salope. Que tu me dises aussi intimement que c'est toi qui t'enfonces en moi, là, fait remonter des vagues de plaisir jusque dans ma gorge.
Tu veux sentir complètement cette chienne qui t'a fait tant jouir quand tu lisais ses récits. Tu me le dis comme ça, crûment. Savoir, sentir que je t'ai tellement excité alors qu'on ne se connaissait même pas, que tu étais un de ces inconnus pour qui je me livrais à travers les mots, et que tu me prends, maintenant, brutalement, est une impression vertigineuse. Le rappel des textes que tu m'as envoyés ensuite et de nos échanges écrits remontent en un flot brûlant dans mon esprit, augmentant encore ma jouissance. Cette pénétration est enfin l'aboutissement de toute cette excitation accumulée.
Le fait d’avoir imaginé ces hommes me posséder dans mes récits t'excite beaucoup. Nous sentons et nous savons aussi bien l'un que l'autre que je pourrais m'écarter de toi à tout instant et inviter un autre partenaire qui me baiserait devant toi, renouvelant dans la réalité ce va et vient entre le sexe avec d'autres et le sexe pour toi que tu as pris tant de plaisir à te représenter en me lisant.
J'ai envie de prolonger ce jeu et je m'écarte de toi. Je sais que me voir être baisée par un autre homme te rendrait fou d'excitation. Parce que c’est un jeu, j’y pends un plaisir immense. Cette notion d'"être baisée" est celle du lâcher prise qui n'est possible que parce que je sais que c'est une parenthèse en rupture totale avec le savoir vivre et le respect du partenaire que tu es. Et je sais aussi que de mon regard, je peux à tout instant inverser les rôles, susciter des convoitises, choisir les hommes que je veux, les repousser. Je me rends compte que j'aime user de cette liberté de me soumettre, et éprouver que je l'exerce de cette façon.
Je regarde autour de moi, allant de tes yeux dévorant à ceux des hommes près de nous, qui nous observent, attendent, se masturbent discrètement ou plus visiblement. Je m'éloigne encore insensiblement en te fixant. Tu bandes terriblement et il me semble que plus je m'éloigne, plus ton désir me ramène dans cette alcôve. Je saisis la main d'un de ces hommes. Je l'invite à venir avec nous, il est un peu hésitant et essaie de comprendre quelles sont nos intentions.
Je l'attire vers toi.
"Baise là!"
Je crains un peu que ça le déstabilise, qu'il se sente pris comme un objet, livré en pâture. Mais on ne peut pas s'arrêter pour discuter et s'expliquer ou ça casserait le rythme du jeu.
Je fais un clin d'œil à cet homme, accompagné d'une caresse sur l'avant-bras pour établir un contact humain. Je m'allonge sans cesser de te regarder. L'homme approche son sexe de ma bouche pour que je le suce et je m'exécute. Je sens tes doigts qui entrent à nouveau dans ma chatte, dans un va et vient puissant. Chaque fois que tu sens que je vais jouir, tu t'arrêtes et je n'ai plus que la sensation de ces doigts immobiles en moi, dans l'attente de leur nouveau mouvement. Je suce cet homme, je le vois, je le sens. Et tu me procures en plus cette impression qu'en même temps, un inconnu que je ne vois pas s'est emparé de moi, de mon sexe, de mon plaisir, comme nous en avons si souvent parlé.
Notre invité est de plus en plus excité. Il regarde autour de lui, il ne sait pas s'il peut jouir comme ça. J'aimerais sentir son sperme sur ma poitrine mais c'est un plaisir que je veux te réserver. Je me recule et lui tends un préservatif. Il le met rapidement. Je me lève et m'adosse le long du mur. Il s'approche de moi. Il a compris. Il me prend comme ça, debout, ses mains sous mes fesses, de grands coups de boutoir qui m'arrachent une violente jouissance après cette torture délicieuse que tu as infligée à mon vagin brûlant. Je te regarde et je sais que dès qu'il aura fini, tu retrouveras cette place que tu n'as consenti à lui laisser quelques instants que pour pouvoir la reprendre. Ton sexe est tendu vers moi et je voudrais le toucher mais tu es un tout petit peu trop loin. Encore quelques secondes et je pourrai de nouveau te prendre dans ma bouche.
X :
Ton invité intime te prend de plus en plus fort, te pénétrant de toute sa longueur. Tu te cabres à nouveau, ton désir repart. Il te propose avec ses mains de te retourner pour pouvoir mieux te prendre par derrière.
Je vois ses yeux désirer ton corps, il ne pourrait plus s’arrêter. Te voir te promener presque nue dans le club l’a certainement énormément excité, il en oublie que nous vous regardons, ses couilles tapent sur ton clito et je sais que cela te rend folle. Tu passes une de tes mains entre tes jambes, non pas pour te faire jouir mais pour caresser ses boules. Tu veux décidément qu’il jouisse en toi. Je ne peux que me rappeler à quel point sentir tes doigts mouillés de ta salive sur mes boules est agréable. Habituellement, cette sensation de tes humidités mêlées à tes doigts experts sur le sexe des hommes, sur mes boules, pourrait me faire jouir instantanément, aussi vite que lui.
Je peux deviner qu’il vient de jouir en toi, il se colle longuement. Il caresse une dernière fois tes seins et se retire. Nous voyons qu’il reprend contact avec la réalité et réalise qu’il vient de jouir devant plusieurs hommes se masturbant au rythme de ses coups de reins.
Autour de nous les regards des hommes nous pressent et je sais qu’ils veulent te prendre à leur tour. Je sais également que tu es encore très excitée, ce pénis qui est venu en toi a réveillé ton avidité de sexe.
Je reconnais cette posture que tu prends lorsque tu es en attente de sexe et ce regard que tu adoptes lorsque tu désires les hommes. Tes expressions qui m'ont tant excité à travers tes photos et nos jeux. A ce moment, tes yeux nous supplient de te baiser, peu importe la forme. Je sais que tu les voudrais tous mais je suis là, déjà derrière toi, la queue raide collée à tes fesses. Tu ondules, je sens que tu as envie de moi et tu sais maintenant que je vais te prendre. De mon côté, je peux jouir très vite, la situation m’a excité au plus haut point. Je caresse tes seins que j’ai envie de gober, j’ai tellement envie de toi à ce moment que j’en tremble. Je colle mes cuisses à l’arrière des tiennes. Je te lèche la bouche et prononce ces mots crus qui t’excitent tant. Tu as besoin de queues et moi j’ai besoin de ta chatte. Je te dis que je voulais mettre ma bite dans la bouche d’une autre pendant que tu te faisais baiser, mais te voir te faire prendre m’a tellement excité que je suis resté là, à me branler devant ce spectacle et que maintenant, je n’ai qu’envie de te posséder devant ces hommes qui nous regardent. Tes yeux se ferment légèrement, je sais qu’à ce moment, seule ta chatte chaude t’importe.
Je te demande si la bite de l’autre homme était bonne, si elle t’a bien fait jouir et si tu es prête à aller la lécher de nouveau. Je te pénètre doucement pendant que je te pose ces questions… Je lèche ton cou, ton oreille et reviens à ta bouche que je prends en m’aidant de la main qui me reste libre. J’adore quand tu montres à quel point tu as besoin de te faire baiser. Tes gémissements m’incitent à venir plus fort et plus vite dans ta chatte trempée. Mais tes seins m'appellent, dans leur mouvement hypnotique. Je me calme un peu, je ralentis en fermant les yeux. Je les rouvre et regarde les tiens, lourds de plaisir et de désir de nouvelle jouissance, légèrement plissés et amusés car tu sais comment je veux finir.
Je fais signe à un des hommes nous entourant de venir plus près, ce qu’il hésite à faire. Tu as vu mon geste et ton regard fixe maintenant son sexe, ce qui l’incite à se rapprocher légèrement de toi. Je prends ta main et la dirige vers son sexe en te demandant de le branler, ce que tu fais instantanément. Ma main reste sur la tienne et je te fais faire des va et viens sur sa queue au rythme des nôtres. Je veux te posséder à ce moment, je reprends ma main et insère un doigt dans ton anus.
La vue de cette queue que tu branles si bien pendant que je te prends n’arrête pas de m’exciter, nous avons tant anticipé ce moment que c’est là l’aboutissement de tous nos fantasmes. Mon pouce est maintenant bien profond dans ton petit orifice qui devient de plus en plus accueillant. Notre complice n’arrête pas de te caresser les seins et te mettre ses doigts dans la bouche pendant que tu le branles. Il se rapproche de plus en plus de tes seins pendant que tu continues tes caresses divines sur sa queue écarlate d’excitation. Plus il s’approche de toi, plus cela m’excite et plus mes coups de reins se font plus forts. Deux de mes doigts fouillent ton cul pendant que je te prends en levrette. Cette situation devient une torture, je te murmure à l’oreille que je veux te posséder, te baiser la chatte et la bouche, t’enculer avant de te faire crier devant tous ces hommes qui lâcheront leur jus de plaisir en te voyant jouir à quelques centimètres de leurs queues tendues vers toi. Et je te sens jouir violemment, ton ventre ondulant de spasmes. Et puis ton corps et ton regard, complètement abandonnés.
Je suis au bord de l’orgasme, je retire mes doigts de ton cul, attrape tes cheveux et te bois la bouche, ce qui te fait lâcher légèrement prise sur le sexe de notre complice... Je suis au comble de l’excitation, je dirige brusquement ton visage vers sa queue raide, je veux te voir le sucer avant de jouir, le spectacle est divin et je sais que je ne vais pas tarder à venir. Je sors de ton intimité, me place devant toi, ta bouche quitte le sexe de notre inconnu pour venir se poser sur mon gland. Tu sais que je rêve de recouvrir tes seins de mon sperme mais tu désires m’offrir ta bouche jusqu’au bout. Je sens un de tes doigts venir pénétrer mon cul et tu sais que cela provoque chez moi une jouissance quasi immédiate. Tu veux libérer mon plaisir extrême. Je me laisse alors aller sur ta langue experte, mes spasmes de plaisir inondent ta poitrine alors que tu me caresses les couilles. Tu continues à me branler doucement. Je vois mon jus luisant sur ta poitrine que je vais te demander de ne pas essuyer. Nos complices du moment ont également joui et profitent encore de ce spectacle.
Nous savons que ce n’est que le début de la soirée et je devine un sourire réjoui sur tes lèvres : ce n’est que le début de notre soirée.
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Récit troublant de la communion et de l'exaltation de deux êtres...on est avide de connaitre la suite à défaut d'y participer