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Je m'approche d'Elle. Je sais qu'Elle est là pour ça. Elle est venue échanger quelques mots avec nous en début de soirée. Sur nos envies, nos…
Mar 13 sep 2011
13 commentaires
Je suis ravie que tu exprimes cette curiosité, cet intérêt, ces émotions et je t'en remercie...
Flo Castels
erossplayla.com - le 26/01/2019 à 03h07
erossplayla.com - le 26/01/2019 à 03h07
Je découvre à travers tes mots ce monde inconnu. Enfin, pas forcément celui de la pluralité.
Je rebondis sur un de tes autres billets où tu parlais de la reine et des abeilles. Comparaison amusante si l’on pense au dard et au sexe de l’homme...
Ton texte est très enrichissant, dans le sens où je découvre l’autre côté du miroir, celui où la femme exprime ce qu’elle ressent dans cette situation. Moi, habitué à l’ardeur, à la fougue d’un rapport à deux, mêlant intensité et douceur, j’ai enfin découvert ce qu’une femme peut ressentir dans ce genre de situation. Pour te dire, dans mon esprit, à tord au regard de tes propos, j’ai toujours eu du mal à comprendre se plaisir dans la douleur. Mais tes mots m’ont aidé un peu à comprendre autre chose, au delà de la première impression de non initié que je suis.
Ce n’est pas pour autant que j’y sois intéressé. Si je réfléchis à ce que je recherche ou ressens dans un rapport, il est vrai que j’aime avoir une certaine exclusivité avec ma maitresse. Savoir qu’elle pense à moi, avant, pendant et après, comme moi. Que je suis le seul à avoir l’honneur de ses grâce, que nous oeuvrons ensemble pour le plaisir de l’autre, pour notre plaisir commun.
Idée grisante de la “domination” masculine sur la femme ? MDR... Je suis “fidèle” à ma maitresse. Même si je ne peux pas forcémént m’attendre à la même chose d’elle. Après tout, tant que je ne le sais pas... Mais je peux avoir des doutes... Comme ma dernière maitresse, où quelques mois après le début de notre relation, quelques photos d’autres “avatars” sont venus s’accoler à la mienne... Elle n’en restait pas moins très demandeuse et vive pendant nos rapports. Seul regret : sa réticence à parler de ses attentes, de nos attentes, avant, et après un certain “gène” perceptible de sa part lorsque nous jouissions de concert...
J’apprécie cette relation complice que tu décris avec JC. Elle est suffisamment belle et rare pour le souligner.