En fréquentant les hammams ou saunas classiques, j'ai toujours eu le fantasme qu'un homme entre dans cet espace chaud, fermé et intime où je me trouvais, engourdie et
moite. Qu'il vienne me caresser et me donner du plaisir. Et maintenant, je le réalise dans les établissements libertins. Merci à tous les inconnus des hammams et des saunas qui ont accompagné avec
délice la réalisation de mon fantasme.
Je m'installe sur les gradins supérieurs, je me détends et je commence à me caresser. Tout le corps et plus particulièrement les seins. Lorsqu'un homme entre, j'arrête, j'observe discrètement s'il
me convient. S'il ne me convient pas, je ne bouge plus et s'il me touche, je me déplace et j'attends un autre visiteur. S'il me plaît, je reprends mes caresses. Invariablement, il approche sa main,
que je laisse. Il commence à me caresser, d'abord sur des parties peu intimes de mon corps. Ce jeu dure selon le plaisir qu'a mon partenaire de le prolonger. Je continue à caresser les pointes de
mes seins. Je descends vers mon clitoris. Là l'homme s'avance d'avantage vers les zones plus intimes. Il caresse mes seins, l'intérieur de mes cuisses. Je ne l'autorise pas à toucher mon sexe. Il
n'est là que pour m'accompagner. Je continue à me masturber en sentant ses mains pleines de désir courir sur moi, avides de se joindre à mes mains. J'éprouve un plaisir fou à sentir mon excitation
qui monte et le désir de mon partenaire sous contrôle. Je sens que mes reins se cabrent et que ma respiration est de plus en plus difficile. Il met parfois son sexe devant ma bouche et je le suce
avidement, tout en continuant à me masturber et à caresser les pointes de mes seins. Il n'a toujours pas le droit de toucher mon sexe et ça le rend fou d'excitation. Mes seins et mon clitoris sont
gonflés du plaisir qui arrive. Mon sexe est brûlant. Ses mains, des mains d'inconnu sur moi au moment de la jouissance me font perdre la tête. Je me cabre et je jouis fort.
Ensuite je l'autorise à me pénétrer, à faire tout ce qu'il veut de moi. J'ai tellement envie qu'il me pénètre. Alors nous allons continuer dans une alcôve.
Lundi 29 décembre
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